La Direction générale de la Banque Malienne de la Solidarité (BMS-sa) a tenu le jeudi 19 janvier, une rencontre avec leurs partenaires pour faire le point sur le plan de transformation de la BMS-sa ( Projet Elan 2023). La rencontre portait sur la réalisation de plusieurs audits couvrant des thématiques importantes comme l’organisation de la banque, la qualité du portefeuille, la sécurité des systèmes d’information ainsi que la monétique et la digitalisation.
Le Directeur Général de la BMS-SA, Lafia Koïta a indiqué que les conclusions des différents audits ont servi de support à la conception d’un plan de transformation « Elan 2023 ». Il s’agit entre autres de la prise en charge des dysfonctionnements et des nombreuses fragilités commerciales, de maîtrise des coûts et des risques que la Banque s’engage afin d’améliorer ses performances financières et son profil de risque.
Cette rencontre s’est déroulée autour des leviers structurants suivants : la mise en œuvre de nouveaux parcours clients ; l’évolution du modèle opérationnel ; l’adaptation des systèmes d’information pour une meilleure utilisation des données au service des clients.
Selon le DG Koita, 27 chantiers prévus dans la feuille de route de la transformation couvrant l’ensemble des métiers et des fonctions ont été ouverts. Pour soutenir cette transformation, la Banque a recruté le Cabinet Archipel, un cabinet de référence dans le domaine pour l’identification des chantiers prioritaires.
Sur le plan stratégique, la BMS a présenté un nouveau plan comprenant de grands projets structurants pour assurer la rigueur dans l’exécution. Ainsi, ce plan permettra de consolider la position ultime de la banque et de conduire vers une croissance durable et rentable avec l’ambition de la Direction Générale.
Le Directeur général a cependant souligné qu’un catalogue des compétences commun à l’ensemble de la banque sera établi pour permettre au management de cibler des profils. « Nous mettrons en place des outils modernes et adaptés pour faciliter le dialogue entre la Direction du Capital Humain, la Direction Générale et les collaborateurs. Pour enrichir nos données de manière pertinente, notamment concernant les compétences de nos collaborateurs, il nous faut définir les plans de carrière lisibles vers lesquels ils seront orientés », a-t-il dit.
Pour la concrétisation de cette dynamique, à la BMS de se pencher sur la mobilisation collective de l’ensemble des parties prenantes.
M.S