La 97ème session extraordinaire du Conseil d’administration de l’Institut National de Prévoyance Sociale s’est tenue le jeudi 29 septembre 2022. C’était en présence du président du Conseil d’administration, M. Yacouba KATILE, des administrateurs et du Directeur général de l’INPS, M. Ousmane Karim COULIBALY.
𝑨 𝒍’𝒐𝒓𝒅𝒓𝒆 𝒅𝒖 𝒋𝒐𝒖𝒓 𝒅𝒆 𝒄𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒔𝒆𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏 : 𝒍’𝒆𝒙𝒂𝒎𝒆𝒏 𝒆𝒕 𝒍‘𝒂𝒅𝒐𝒑𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝒃𝒖𝒅𝒈𝒆𝒕 2022 𝒓é𝒂𝒎é𝒏𝒂𝒈é ; 𝒍’𝒂𝒖𝒈𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝒄𝒂𝒑𝒊𝒕𝒂𝒍 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑩𝒂𝒏𝒒𝒖𝒆 𝑴𝒂𝒍𝒊𝒆𝒏𝒏𝒆 𝒅𝒆 𝑺𝒐𝒍𝒊𝒅𝒂𝒓𝒊𝒕é ; 𝒍’𝒆𝒎𝒑𝒓𝒖𝒏𝒕 𝒐𝒃𝒍𝒊𝒈𝒂𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍‘É𝒕𝒂𝒕 𝒆𝒕 𝒍𝒆 𝒑𝒓𝒐𝒋𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒑𝒐𝒍𝒚𝒄𝒍𝒊𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒆𝒏 𝒋𝒐𝒊𝒏𝒕-𝒗𝒆𝒏𝒕𝒖𝒓𝒆.
Du mot d’ouverture du PCA, on retient qu’en dépit des crises multiformes que notre pays connait, la Direction générale de l‘Institut National de Prévoyance Sociale et son personnel ont décidé du maintien du niveau du budget prévisionnel de 2022.
D’où son accompagnement et celui de tous les administrateurs à la Direction générale et à tout le personnel. Avant de demander à la Direction de densifier les partenariats économiques pour permettre à I’INPS de mieux conforter sa trésorerie de réaliser les objectifs stratégiques qui lui seront fixés.
Il a informé qu’au plan financier, au regard des tendances observées sur le taux de réalisation des recettes (60%) au 31 août 2022, soit 144 612 473 884 FCFA sur 240 17 4 207 7 43 F CFA, les prévisions au 31 décembre 2022 sont maintenues. Selon M. KATILE, « Des actions fortes doivent être entreprises par les différents services de recouvrement afin de booster le taux de réalisation. Des virements de crédits sont apparus nécessaires au niveau de certains chapitres budgétaires de recettes concernant les chapitres des majorations de retard, les produits contentieux et les cotisations du régime, de protection contre la maladie. S’agissant des dépenses des besoins nouveaux se sont imposés en raison de certaines nécessités de service, ce qui va modifier le niveau prévisionnel de certains chapitres de dépenses.
« Pour des prévisions annuelles de 221 815747 743 FCFA, les dépenses ont été exécutées à hauteur de 127 568 683 807 FCFA au 3110812022, soit un taux d’exécution de 58%. Si les prévisions annuelles sont maintenues, toutefois, des virements de crédits budgétaires sont nécessaires pour prendre en charge les besoins nouveaux et équilibrer certains postes déficitaires », apprend-on de M. le président du C.A. Lequel a formulé le vœu que cette session soit porteuse d’espoir que I’ensemble des travailleurs placent en notre Institut.
𝑨𝒅𝒂𝒎𝒂 𝑫𝑰𝑨𝑹𝑹𝑨, 𝑺𝒆𝒓𝒗𝒊𝒄𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑹𝒆𝒍𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔 𝑷𝒖𝒃𝒍𝒊𝒒𝒖𝒆𝒔, 𝑰𝑵𝑷𝑺